Me voilà depuis deux jours dans la maison familiale .
Je poursuis cette lourde entreprise de vider deux à trois générations d’outils, de bibelots en tout genre, de métaux et de bois. Je respire de la poussière. Et je me fais prendre au jeu, m’attardant sur un objet parce qu’il est intriguant, sa matière, sa forme, son poids ou parce que j’imagine en faire un truc avec, un jour, jusqu’à parfois renoncer à le jeter tout de suite. Je me sépare petit à petit ou par gros sacs de ce qui me contraint ici, mais j’emporte avec moi quelques restes.
Cyrielle Mars 2017
Ainsi, je vous écrirai de temps en temps de nos nouvelles.
A des moments importants, où chacun pourra se sentir concerné par l’activité ici.
Sylvie